La question peut paraître saugrenue pour des teilhardiens. Mais en interrogeant un large public, on constate que la réponse n’est pas évidente. Les personnes les plus cultivées répondent, en général, que Teilhard a marqué son époque, un has been, comme disent les Anglais. Les plus jeunes ignorent totalement son nom qui ne figure dans aucun manuel scolaire, qu’il soit laïque ou religieux. Quel est le déclic qui permet aujourd’hui de découvrir en Teilhard un « passeur de sens », au-delà de tout clivage idéologique ?
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